Dans le courant de l’année 2008 nous avons rencontré la croix rouge Kenyane située à Malindi. Ils intervenaient peu sur le village de Mambrui.
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Besoins recensés par l'association :
ü Pas d’eau potable, pas de puits sur le village. ü Pas de latrine ü Défécation à l’air libre de leurs besoins naturels. ü Nombreuses maladies liées à la consommation d'eau non potable. ü Nombreuses personnes touchées par la malaria (ou paludisme) ü Enterrent leurs morts à coté de leurs maisons. ü Décès d’enfants suite à des diarrhées importantes (5 par an en moyenne). ü Se plaignent de maux de ventre importants. ü Nombreuses personnes touchées par le virus du SIDA.
ü Désinformation importante des familles sur les origines de leurs maladies, l'hygiène, le VIH
ü Peu de culture. ü Peu d'élevage. ü Tourisme sexuel développé. ü Manque de solidarité entre eux
ü De Nombreux toits de maisons sont troués ou tombent.
ü Taux de famine important. ü Vivent avec moins de 1 € par jour par famille. ü Survivent grâce au tourisme 4 mois par an.
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Mambrui et la scolarisation
ü Peu d'adultes savent lire et écrire. ü Impossibilité pour les parents de scolariser tous leurs enfants. (Privilégie les garçons). ü Peu de matériel pédagogique dans les écoles primaires. ü Peu de mobilier scolaire. ü Ecole maternelle payante. ü Ecole primaire gratuite mais l'achat de l'uniforme est obligatoire : plus de 5 €, et il faut payer chaque mois les frais d'examen. ü Ecole secondaire payante. ü Etudes supérieures payantes.
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Le Kenya fait partie d'une zone manquant d'investissements
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Face à ce constat, à cette demande mondiale, à cette demande des populations rurales que nous avons rencontrées et recensées, l'association SWAHILISA a souhaité aider les populations les plus démunies du KENYA qui se trouvent en zone rurale, à se développer de façon autonome.
Ceci répond à des besoins clairement identifiés et exprimés par la population ainsi qu’aux politiques locales et internationales. Au cours de l’année 2008, sur nos fonds propres nous distribuerons du riz pour Noël, quelques matelas et referons les toitures les plus abimées.
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